7 étapes structurent le processus d’ingénierie des prestations délivrées par Practices International Consultancy :
1. Analyse des besoins
Première phase du processus qui débute dès la prise de contact initiale d’un potentiel commanditaire avec le prestataire. Le commanditaire pourra ainsi formuler une problématique, des attentes et des besoins permettant de vérifier conjointement avec le prestataire leur adéquation avec les principes d’action et les compétences mobilisables.
2. Elaboration de termes de référence
Seconde phase du processus qui s’engage dès lors qu’un accord à l’issue de la phase précédente est réputé acquis. Il s’agit d’une phase d’approfondissement pouvant nécessiter une ou plusieurs rencontres/échanges entre le commanditaire et le prestataire. Elle peut également justifier l’implication directe des publics-cibles de la prestation afin de mieux différencier et croiser la problématique, les besoins et les attentes définis « pour » de ceux définis « par ». Le prestataire peut alors élaborer un projet de termes de références. Finalisé après des allers-retours entre le commanditaire et le prestataire, ce document cadrera la prestation tout au long de sa réalisation en présentant de façon détaillée les objectifs, les résultats attendus, les compétences visées, les prérequis, ainsi que les dimensions méthodologiques, techniques, temporelles et financières de la prestation.
3. Contractualisation
Troisième phase du processus qui aboutit à la signature d’un contrat de prestation auquel seront annexés les termes de référence. Le contrat intègre notamment les conditions générales de vente applicables à la prestation : durée ; résiliation ; paiement ; modalités et délais de prévenance des annulations, reports et retards ; déclaration d’indépendance ; responsabilités ; règles de confidentialité, référencement et droits d’auteurs…
4. Conception
Quatrième phase du processus qui relève de l’élaboration méthodologique pour la création des contenus, des supports et des techniques d’animation de la prestation conformément aux termes de référence. Les principes et méthodes relevant notamment de l’andragogie, du design thinking et de la capitalisation d’expériences, seront mobilisés afin de favoriser l’efficacité par l’alternance d’activités diversifiées répondant à des logiques déductives (du général au particulier) et à des logiques inductives (du particulier au général).
5. Réalisation
Cinquième phase du processus qui, pour toutes les activités prévues implique toujours des ajustements liés à la réceptivité des participants, aux réalités du terrain, aux attentes particulières que peuvent exprimer les participants au cours de la prestation, à l’évaluation continue de leurs besoins et des compétences visées, à l’émergence de questions/problématiques inattendues, etc. Au cours et/ou à la fin de cette phase de la prestation, et au-delà des livrables qu’une prestation peut intégrer, différents documents supports sont remis aux participants et au commanditaire (diaporamas de présentation de contenus, références bibliographiques, compte rendus intermédiaires ou finaux…).
6. Evaluation
Sixième phase du processus, l’évaluation permettra au commanditaire d’apprécier la pertinence et l’efficience de la prestation. Elle permettra également au prestataire de rendre effective et dynamique une nécessaire démarche d’amélioration continue de la qualité de prestations ultérieures. L’évaluation s’envisage en deux temps : (1) l’évaluation dite « à chaud », réalisée collectivement à la fin de la prestation avec les participants ; (2) l’évaluation dite « à froid », réalisée par écrit via un formulaire électronique adressé individuellement à chaque participant quelques jours après la fin de la prestation. Les résultats de ces évaluations sont ensuite retraités par le prestataire et peuvent faire l’objet d’un rapport et/ou d’un temps d’échange avec le commanditaire.
7. Mesure d’impact
Dernière phase du processus, la mesure d’impact permettra au commanditaire de considérer à moyen et/ou long terme les effets significatifs de la prestation (de vaste portée, positifs ou négatifs, intentionnels ou non). Il s’agit de mesurer les effets potentiellement transformateurs de la prestation, qu’il s’agisse de résultats pouvant lui être directement imputés comme de résultats ou conséquences indirects, secondaires ou potentiels. Pour ce faire, un questionnaire de mesure d’impact est diffusé aux participants ainsi qu’au commanditaire environ six mois après la fin de la prestation. La mesure d’impact permettra également au prestataire de rendre effective et dynamique une nécessaire démarche d’amélioration continue de la qualité de prestations ultérieures.