Recherches & Etudes

L’expérience acquise par Practices International Consultancy permet d’envisager d’élaborer des prestations de recherche et d’études dans de nombreux champs, notamment ceux qui sont directement liés à ses domaines de compétences. Fort d’expériences de direction de recherche, de contribution à des projets de recherche et d’encadrement d’étudiants à l’initiation à la recherche, il convient de souligner que la plus-value de Practices International Consultancy repose sur l’intégration à chaque protocole de modalités concrètes de participation et d’inclusion des premiers concernés, qu’il s’agisse d’usagers, de professionnels ou de membres de la société civile.

Les prestations de recherche peuvent ainsi prendre la forme de recherches-action alors que les études peuvent se décliner selon les besoins et les objectifs du commanditaire :

Un diagnostic consiste à suivre méthodiquement plusieurs étapes multi partie-prenantes d’investigation et d’analyse afin de permettre une meilleure connaissance d’une problématique puis l’identification de différentes options stratégiques pour la prendre en compte.

Une évaluation des besoins est un processus systématique permettant d’identifier et d’analyser les besoins (perçus, exprimés, relatifs) de toutes les parties-prenantes à un projet comme les écarts entre les conditions actuelles et les conditions souhaitées pour la prise en compte de ces besoins dans un contexte donné.

Identification des enjeux et analyse des partie-prenantes afin de vérifier la faisabilité d’un projet au regard de ses forces et de ses faiblesses comme des menaces et des opportunités qu’il révèle.

Démarche participative et inclusive de tous les acteurs d’un écosystème territorialisé permettant d’identifier et d’analyser ses caractéristiques spécifiques (enjeux, ressources…) afin de mieux cerner une problématique et d’envisager des options stratégiques pour la prendre en compte dans le cadre d’un projet.

Différences entres Recherches et Etudes

« (…) les recherches tendent à « une production de connaissances » élaborée par une nécessaire « critique du sens commun ». En comparaison, les études « ne visent pas une connaissance nouvelle » ; il s’agit davantage d’ »un savoir contextualisé à visée opérationnelle » » (Amaré et Valran, 2017).

La première distinction repose sur la différence de nature entre connaissance (recherches) et savoir (études). En effet, la connaissance propose des repères théorico-conceptuels définis dans différents champs disciplinaires. A contrario et bien que pouvant mobiliser des théories et des concepts, le savoir n’est pas définissable. Il relève plutôt d’une faculté à ordonnancer des connaissances afin de produire une pensée structurée, une argumentation.

La seconde distinction repose sur la dimension de l’opérationnalité et quand bien même les deux démarches peuvent être centrées sur un même objet. En effet, la recherche n’a pas de visée d’opérationnalité alors que l’opérationnalité peut être un objectif poursuivi par une étude.

Aussi, et quand bien même recherches et études sont toujours conduites dans un cadre méthodologique stricte et rigoureux, ces distinctions ont de nombreuses incidences en termes de protocole d’investigation. En effet, alors que les études peuvent supporter des protocoles plus souples, les protocoles de recherche en sciences sociales doivent satisfaire certaines exigences processuelles qui fondent la scientificité d’une recherche (Quivy et Campenhoudt, 2006) : question de départ (1), exploration (2), problématisation (3), construction d’un modèle d’analyse (4), recueil de données (5), analyse des données (6), conclusions (7).